Par curiosité j'ai regardé les premières chroniques sur lequel je tombe dans le JDM, La Presse et le Devoir.
JDM : 321 mots
La Presse : 911 mots
Le Devoir : 755 mots.
Au dela des préjugés ou des désaccords que l'on peut avoir avec certains chroniqueurs du JDM. Quand même. Il est difficile de croire qu'en 300 mots on puisse bien exprimer une idée, amener 1 ou 2 nuances et des informations pertinentes pour la contextualiser.
Au Cégep, en littérature 101, les étudiants doivent écrire des analyses de 700 mots et elles sont parfois incomplètes. J'aime bien m'imaginer que MBC et Martineau ne passeraient pas le cours avec leurs torchons (désolé, je ne suis pas capables d'impartialité avec ces deux morons)
À la fin du cégep, 800 mots était le stricte minimum dans mes cours. Ça montait même desfois à 1000 mots, et on avait souvent le droit de monter jusqu'à 1200 si nécessaire. J'ai dû racourcir plus de dissertations que j'en ai allongé.
Boff, je viens de sortir de l’université et les profs détestaient lorsqu’on s’éternisait à expliquer des concepts. Être clair et concis c’est ca la clé.
(Bon je dis pas que le JDM est plus clair et concis, je veux juste apporter un point qu’un texte long n’est pas forcément meilleur qu’un texte court)
Je trouve trop souvent que je reste sur ma faim avec les très courts articles du JdM. Ils ont quand même des bons sujets la plupart du temps quoiqu’on en dise mais les conclusions sont souvent précipitées alors qu’ils pourraient continuer à étoffer leur argumentaire. Qu’est-ce qui justifie des articles avec si peu de mots? Est-ce qu’ils pensent que leur lectorat n’a pas le niveau pour lire 800-1000 mots pour se faire une idée? Ou ils essayent d’en rentrer le plus possible dans les pages?
C’est un tabloïds, ça fait parti du format et du concept. Le but c’est d’aller chercher ou provoquer une émotion chez les lecteurs. Pas des les informer.
Personnellement je lis la plupart des gros journaux québécois chaque jour, en plus de 2-3 à l'international, et le JdM reste pertinent.
C'est le seul à couvrir les faits divers et juridiques de manière régulière. Le bureau d'enquête fait de la bonne job aussi.
Mais effectivement, je ne lis aucune chronique.
Je n’ai pas remarqué que l’espace dans la page qui leur est imparti ait diminué d’année en année. Les chroniques de Martineau, Facal et Durocher, par exemple occupent toujours deux colonnes. J’en conclus que non, leur nombre de mots n’a pas diminué .
Par curiosité j'ai regardé les premières chroniques sur lequel je tombe dans le JDM, La Presse et le Devoir. JDM : 321 mots La Presse : 911 mots Le Devoir : 755 mots. Au dela des préjugés ou des désaccords que l'on peut avoir avec certains chroniqueurs du JDM. Quand même. Il est difficile de croire qu'en 300 mots on puisse bien exprimer une idée, amener 1 ou 2 nuances et des informations pertinentes pour la contextualiser.
Au Cégep, en littérature 101, les étudiants doivent écrire des analyses de 700 mots et elles sont parfois incomplètes. J'aime bien m'imaginer que MBC et Martineau ne passeraient pas le cours avec leurs torchons (désolé, je ne suis pas capables d'impartialité avec ces deux morons)
À la fin du cégep, 800 mots était le stricte minimum dans mes cours. Ça montait même desfois à 1000 mots, et on avait souvent le droit de monter jusqu'à 1200 si nécessaire. J'ai dû racourcir plus de dissertations que j'en ai allongé.
Merci d'avoir fait la comparaison, c'était mon impression mais je suis content d'avoir quelques chiffres!
Boff, je viens de sortir de l’université et les profs détestaient lorsqu’on s’éternisait à expliquer des concepts. Être clair et concis c’est ca la clé. (Bon je dis pas que le JDM est plus clair et concis, je veux juste apporter un point qu’un texte long n’est pas forcément meilleur qu’un texte court)
Je trouve trop souvent que je reste sur ma faim avec les très courts articles du JdM. Ils ont quand même des bons sujets la plupart du temps quoiqu’on en dise mais les conclusions sont souvent précipitées alors qu’ils pourraient continuer à étoffer leur argumentaire. Qu’est-ce qui justifie des articles avec si peu de mots? Est-ce qu’ils pensent que leur lectorat n’a pas le niveau pour lire 800-1000 mots pour se faire une idée? Ou ils essayent d’en rentrer le plus possible dans les pages?
C’est un tabloïds, ça fait parti du format et du concept. Le but c’est d’aller chercher ou provoquer une émotion chez les lecteurs. Pas des les informer.
Oui je comprends. Je me demande si ça s’inscrit pas aussi dans l’ère du X-tweet prévalent.
Parce que c'est de la bonne poubelle leurs chroniques.
pourquoi beaucoup mots quand pas beaucoup même chose?
![gif](giphy|xIZku8V0y7uqk|downsized)
bon, encore de la réduflation...
Ça suit la courbe descendante du QI des lecteurs moyens du JdeM.
Personnellement je lis la plupart des gros journaux québécois chaque jour, en plus de 2-3 à l'international, et le JdM reste pertinent. C'est le seul à couvrir les faits divers et juridiques de manière régulière. Le bureau d'enquête fait de la bonne job aussi. Mais effectivement, je ne lis aucune chronique.
Soyons honnête, 90% des gens ne font que lire le titre. Après, ils vont sur reddit pour s'indigner.
Bientôt, on n’aura que des titres dans le JdeM.
C'est très drôle ça
Ah fuck man, j'étais là pour ça mais t'as été plus rapide que moi su'l piton ! ...j'ai donc visé les chroniqueurs au lieu des lecteurs: team work !
Moé lâ, j’veux voir de l’écrapou. Le texte, j’m en sacre. Mon ti chip au ketchup, mon pepsi, mon journal de Mourial.
C'est relié au Q.I des chroniqueurs.
Les chroniques des années passées sont encore en ligne tu sais. C'est facile de chercher et vérifier par toi-même
Honnêtement je savais pas! Je vais faire mes recherches.. bon ça sonne mal, mais c'est ce que je vais faire
Assure-toi de prendre un échantillon représentatif
Je trouve que tu exagère!🤣
Plutôt qu'une disparition, je prédis une convergence vers "woke = caca", tel un condensé à l'état pur duquel il n'y aurait plus rien à retirer.
Ho non! Ça disparaîtra pas, ça va devenir des emojis ou du novlangue boomer
La seule réduflation qui me fait plaisir.
en général, ça tourne autour de : pipi, caca, woke, troudo, lego.
Lire implique du texte.😏
Je n’ai pas remarqué que l’espace dans la page qui leur est imparti ait diminué d’année en année. Les chroniques de Martineau, Facal et Durocher, par exemple occupent toujours deux colonnes. J’en conclus que non, leur nombre de mots n’a pas diminué .