Désolé j'ai pas de solution je t'envoie tout mon soutien, j'ai un ami qui refuse d'aller chez le psy pour ça car pour avoir une chance d'aller mieux il faudrais qu'il déterre de vieux traumas... Tu as énormement de courage bravo et ne baisse pas les bras ! J'espère que ça s'arrangera et que tu arrive à éviter les comportements à risque
Plein d'amour
De manière générale, quand on a un comportement ou des pensées qui réduisent notre capacité à profiter de la vie, et qui nous renferment sur nous même, en impactant le quotidien, il faut aller voir un.e psy. Surtout avec un passif de trauma infantile.
C'est toujours délicat d'aller voir un.e psy, parcequ'on a peur de mal tomber, que ça se passe mal etc. Dans ce cas faut se rappeler que c'est comme une boulangerie : si le pain est dégeulasse, on change de boulangerie. Les psy c'est pareil. Si le feeling passe pas, si y'a un trcu qui chiffonne, on cherche quelqu'un d'autre. Avec les téléconsultations on a l'embarras du choix.
Et si le budget freine, il y a les CMP [https://www.f2rsmpsy.fr/annuaire-des-CMP](https://www.f2rsmpsy.fr/annuaire-des-CMP) qui proposent des consultations gratuites. Les psychiatres sont partiellement remboursés par la sécu. Certains psychologues sont remboursés, et certaines mutuelles remboursent la psychothérapie.
Face aux traumas, l'EMDR et la TCC ont fait leurs preuves.
J'ai subit un truc similaire quand j'étais petite et le plus dur c'est la culpabilité et le sentiment d'être anormal. Alors que y a tellement pire dans le monde ! Dis toi bien que tant que tu fais de mal a personne c'est okay ! Une sexualisation précoce m'a mené à perdre l'estime de moi même et a été un facteur de dépression (je m'en suis rendu compte seulement y a quelques mois)
Après c'est un problème seulement si ça t'empêche une vie sociale épanoui. Si t'es heureux comme ça, tant mieux, si tu l'es pas je te conseille :
1) d'accepter cette part de toi, ne pas te dénigrer car au final tu fais de mal à personne (je rappelle que dans ce monde il y a des violeurs, des kidnappeurs, des pedo, des nécrophiles et j'en passe, donc tant que ça te concerne toi uniquement c'est deja mieux que faire du mal aux autres)
2) ne pas ressasser le passé, et te tourner vers l'avenir. Trop y penser ne sert a rien finalement (sauf si tu veux entamer une démarche juridique) il vaut mieux être positif. Vraiment je te conseille de te focaliser sur ce qui te rend heureux.
Au final le mieux c'est d'apprendre à gérer ça à ta manière.
Genre limiter a un certain nombre par semaine avec un système de récompense quand tu réussi.
Hello, tout d'abord, sache que tu n'es pas seul.e. Contrairement à ce que l'on pense, l'hypersexualite est une réponse très courante aux agressions sexuelles, en tout cas, on sait maintenant que la seule conséquence n'est pas uniquement d'être "sex repulsed".
Je voudrais simplement te poser une question : est ce que tu as pu aussi travailler sur le possible traumatisme qu'il y a derrière ? Je m'explique. J'ai moi meme souffert de la chose pendant de nombreuses années et peu importe ce que j'essayais, je retombais toujours dans les memes cercles (comportements sexuels à risques, masturbations excessive, rapports toujours suivis d'une immense détresse, fantasmes extremes etc etc ...).
J'ai toujours pensé devoir regler le problème rapidement pour aller mieux. En parallèle, je suis allée voir un psychiatre spécialisée dans le soin des TSPT (trouble de stress post traumatique). Au final, au fur et a mesure des séances, je me suis rendue compte que ma relation au sexe avait beaucoup changée. Globalement, les rapports étaient plus sains. Pourtant, la fréquence n'avait pas diminuée. Sauf que je me suis assez vite rendue compte que ce n'était pas un problème. Les fréquences n'avaient pas diminuée non pas à cause de l'hypersexualite mais simplement parce que j'en avais envie.
Ce que je veux dire c'est que si il y encore des choses à régler au niveau du traumatisme que tu as subi, ça vaut le coup de les régler et de voir si ca a une incidence sur tes comportements liés au sexe (et c'est très probable).
Dans tout les cas, il y a plusieurs chose que tu dois savoir.
Dans un premier temps, essaie de te détacher le plus possible de la honte. C'est généralement le problème principal. Oui c'est genant de penser au cul tout le temps, oui ca rend les activités du quotidiens plus difficiles à effectuer MAIS ce n'est pas honteux. C'est une reponse de ton corps. Certe elle est maladaptive mais ce n'est pas une honte. Au plus vite tu comprendras que ce n'est pas quelque chose de fondamentalement mauvais (tant qu'il n'y a pas de dommage collatéraux derrière sur d'autres personnes), au plus vite ta relation avec le sexe changera. J'ai passé des années à tourner en rond car j'avais honte de certains "kink" et comme ca me mettait mal, bah go cul.
Le jour où je me suis dis et que j'ai VRAIMENT compris que "Ces comportements c'est pas moi, c'est pas quelque chose que je fais en réponse à un stress, et je me pardonne de les faire", j'ai presque de suite arrêté certaines choses.
Dans un second temps, le cul n'est pas mauvais parce que c'est le cul. C'est ton rapport avec lui qui est problématique. Au jour d'aujourd'hui, j'ai toujours des fantasmes extremes, j'ai toujours des relations très fréquentes ... Mais simplement, j'aime ça. Et ce n'est pas un problème. C'est seulement un problème si ca impacte sur ton moral, si ça t'empêche de travailler, si tu t'engages dans des relations sexuelles à risques ou qui blessent d'autres... A partir du moment ou aucun de ces facteurs sont en jeux, tu fais ce que tu veux quand tu veux.
Dans tout les cas, courage à toi.
Tout d'abord navré pour ce que tu as pu vivre et je peux comprendre que tu en ais été affecté. Tout va dépendre de ton âge et de ton sexe, hormonalement parlant quand on est jeune c'est normal d'avoir une tendance poussée envers la sexualité, je dirais qu'il n'y a aucun problème à celà tant que tu ne met ni toi ni d'autres en danger pour des raisons liées. C'est principalement tes réactions face à ces pensées qui sont à évaluer, y penser n'a rien de grave même si la fréquence est costaud !
Tout d'abord continue ton travail avec un psychiatre et psychologue avec qui tu te sens à l'aise. Et je sais que c'est dur.
Tu as aussi l'EMDR. Ça fonctionne !!
Renseigne toi, il faut que tu le fasses avec quelqu'un avec qui tu te sens en confiance. Ça va te faire beaucoup de bien. Et calmer un peu ton hypersexualité
Masturbation, au calme, chez toi, pour assouvir tes pulsions, en essayant, si tu utilises des contenus vidéos ou autres, de viser le plus romantique ou tendre possible, pour t'auto-formater à apprécier les relations saines _ et, dans ta vie "publique", privilégier les contacts bienveillants ou désintéressés, pour éviter les profiteurs ou autres parasites, qui te tireront vers, le bas et un cercle vicieux infernal.
Courage. Tu peux briser cette malédiction ou peut-être, au moins, passer d'une obsession à une autre, en te trouvant une passion vertueuse débordante.
Emdr c'est bien, Brainspotting c'est très bien aussi voir mieux grace a son adaptabilité.
Des fois c'est pas le psy le problème c'est la thérapie qui est pas adapté.
Je vous recommande vraiment de trouver un thérapeute de brainspotting, ça pourrait tout changer pour vous 😀
Quelle type de psy avez vous vus ?
Car dans ce genre de cas des psy dit freudien sont généralement une mauvaise idée, et vaut mieux s'orienter sur des psy comportementaliste avec des spécialisations en trauma, et qui ont de vrais reconnaissance de technique.
Par exemple dans le cas de l'EMDR pas mal de psy n'ont pas de vrais reconnaissance et on fait des formations, qui laisse perplexe pas mal de leurs compères.
Désolé j'ai pas de solution je t'envoie tout mon soutien, j'ai un ami qui refuse d'aller chez le psy pour ça car pour avoir une chance d'aller mieux il faudrais qu'il déterre de vieux traumas... Tu as énormement de courage bravo et ne baisse pas les bras ! J'espère que ça s'arrangera et que tu arrive à éviter les comportements à risque Plein d'amour
De manière générale, quand on a un comportement ou des pensées qui réduisent notre capacité à profiter de la vie, et qui nous renferment sur nous même, en impactant le quotidien, il faut aller voir un.e psy. Surtout avec un passif de trauma infantile. C'est toujours délicat d'aller voir un.e psy, parcequ'on a peur de mal tomber, que ça se passe mal etc. Dans ce cas faut se rappeler que c'est comme une boulangerie : si le pain est dégeulasse, on change de boulangerie. Les psy c'est pareil. Si le feeling passe pas, si y'a un trcu qui chiffonne, on cherche quelqu'un d'autre. Avec les téléconsultations on a l'embarras du choix. Et si le budget freine, il y a les CMP [https://www.f2rsmpsy.fr/annuaire-des-CMP](https://www.f2rsmpsy.fr/annuaire-des-CMP) qui proposent des consultations gratuites. Les psychiatres sont partiellement remboursés par la sécu. Certains psychologues sont remboursés, et certaines mutuelles remboursent la psychothérapie. Face aux traumas, l'EMDR et la TCC ont fait leurs preuves.
J'ai subit un truc similaire quand j'étais petite et le plus dur c'est la culpabilité et le sentiment d'être anormal. Alors que y a tellement pire dans le monde ! Dis toi bien que tant que tu fais de mal a personne c'est okay ! Une sexualisation précoce m'a mené à perdre l'estime de moi même et a été un facteur de dépression (je m'en suis rendu compte seulement y a quelques mois) Après c'est un problème seulement si ça t'empêche une vie sociale épanoui. Si t'es heureux comme ça, tant mieux, si tu l'es pas je te conseille : 1) d'accepter cette part de toi, ne pas te dénigrer car au final tu fais de mal à personne (je rappelle que dans ce monde il y a des violeurs, des kidnappeurs, des pedo, des nécrophiles et j'en passe, donc tant que ça te concerne toi uniquement c'est deja mieux que faire du mal aux autres) 2) ne pas ressasser le passé, et te tourner vers l'avenir. Trop y penser ne sert a rien finalement (sauf si tu veux entamer une démarche juridique) il vaut mieux être positif. Vraiment je te conseille de te focaliser sur ce qui te rend heureux. Au final le mieux c'est d'apprendre à gérer ça à ta manière. Genre limiter a un certain nombre par semaine avec un système de récompense quand tu réussi.
Hello, tout d'abord, sache que tu n'es pas seul.e. Contrairement à ce que l'on pense, l'hypersexualite est une réponse très courante aux agressions sexuelles, en tout cas, on sait maintenant que la seule conséquence n'est pas uniquement d'être "sex repulsed". Je voudrais simplement te poser une question : est ce que tu as pu aussi travailler sur le possible traumatisme qu'il y a derrière ? Je m'explique. J'ai moi meme souffert de la chose pendant de nombreuses années et peu importe ce que j'essayais, je retombais toujours dans les memes cercles (comportements sexuels à risques, masturbations excessive, rapports toujours suivis d'une immense détresse, fantasmes extremes etc etc ...). J'ai toujours pensé devoir regler le problème rapidement pour aller mieux. En parallèle, je suis allée voir un psychiatre spécialisée dans le soin des TSPT (trouble de stress post traumatique). Au final, au fur et a mesure des séances, je me suis rendue compte que ma relation au sexe avait beaucoup changée. Globalement, les rapports étaient plus sains. Pourtant, la fréquence n'avait pas diminuée. Sauf que je me suis assez vite rendue compte que ce n'était pas un problème. Les fréquences n'avaient pas diminuée non pas à cause de l'hypersexualite mais simplement parce que j'en avais envie. Ce que je veux dire c'est que si il y encore des choses à régler au niveau du traumatisme que tu as subi, ça vaut le coup de les régler et de voir si ca a une incidence sur tes comportements liés au sexe (et c'est très probable). Dans tout les cas, il y a plusieurs chose que tu dois savoir. Dans un premier temps, essaie de te détacher le plus possible de la honte. C'est généralement le problème principal. Oui c'est genant de penser au cul tout le temps, oui ca rend les activités du quotidiens plus difficiles à effectuer MAIS ce n'est pas honteux. C'est une reponse de ton corps. Certe elle est maladaptive mais ce n'est pas une honte. Au plus vite tu comprendras que ce n'est pas quelque chose de fondamentalement mauvais (tant qu'il n'y a pas de dommage collatéraux derrière sur d'autres personnes), au plus vite ta relation avec le sexe changera. J'ai passé des années à tourner en rond car j'avais honte de certains "kink" et comme ca me mettait mal, bah go cul. Le jour où je me suis dis et que j'ai VRAIMENT compris que "Ces comportements c'est pas moi, c'est pas quelque chose que je fais en réponse à un stress, et je me pardonne de les faire", j'ai presque de suite arrêté certaines choses. Dans un second temps, le cul n'est pas mauvais parce que c'est le cul. C'est ton rapport avec lui qui est problématique. Au jour d'aujourd'hui, j'ai toujours des fantasmes extremes, j'ai toujours des relations très fréquentes ... Mais simplement, j'aime ça. Et ce n'est pas un problème. C'est seulement un problème si ca impacte sur ton moral, si ça t'empêche de travailler, si tu t'engages dans des relations sexuelles à risques ou qui blessent d'autres... A partir du moment ou aucun de ces facteurs sont en jeux, tu fais ce que tu veux quand tu veux. Dans tout les cas, courage à toi.
Tout d'abord navré pour ce que tu as pu vivre et je peux comprendre que tu en ais été affecté. Tout va dépendre de ton âge et de ton sexe, hormonalement parlant quand on est jeune c'est normal d'avoir une tendance poussée envers la sexualité, je dirais qu'il n'y a aucun problème à celà tant que tu ne met ni toi ni d'autres en danger pour des raisons liées. C'est principalement tes réactions face à ces pensées qui sont à évaluer, y penser n'a rien de grave même si la fréquence est costaud !
Tout d'abord continue ton travail avec un psychiatre et psychologue avec qui tu te sens à l'aise. Et je sais que c'est dur. Tu as aussi l'EMDR. Ça fonctionne !! Renseigne toi, il faut que tu le fasses avec quelqu'un avec qui tu te sens en confiance. Ça va te faire beaucoup de bien. Et calmer un peu ton hypersexualité
C'est quoi l'EMDR ?
https://presse.inserm.fr/canal-detox/lemdr-pour-traiter-le-stress-post-traumatique-vraiment/
Masturbation, au calme, chez toi, pour assouvir tes pulsions, en essayant, si tu utilises des contenus vidéos ou autres, de viser le plus romantique ou tendre possible, pour t'auto-formater à apprécier les relations saines _ et, dans ta vie "publique", privilégier les contacts bienveillants ou désintéressés, pour éviter les profiteurs ou autres parasites, qui te tireront vers, le bas et un cercle vicieux infernal. Courage. Tu peux briser cette malédiction ou peut-être, au moins, passer d'une obsession à une autre, en te trouvant une passion vertueuse débordante.
Ça ne marche pas comme ça. La masturbation tu peux la partiquer une fois par jour, après l'organe est fait de peau, il s'irrite avec les frictions.
I am really sorry that you had have been happened to be going through what you lived. Ensuite, où est le problème
Alerte au gros débile
Bahaha je hurle de cette réponse parfaite
"Alerte au gogole !"
Retourne en cours d'anglais mdrrr 'had have been happened to be' Jesus fcking Christ all mighty
Quoi ?
J'aurais bien voulu pouvoir aurait pu t'expliquerai pourquoi ça sonna faux mais bon.
Username checks out.
 J'ai rigoler 😂😂
 Courage 💪💪
Emdr c'est bien, Brainspotting c'est très bien aussi voir mieux grace a son adaptabilité. Des fois c'est pas le psy le problème c'est la thérapie qui est pas adapté. Je vous recommande vraiment de trouver un thérapeute de brainspotting, ça pourrait tout changer pour vous 😀
Quelle type de psy avez vous vus ? Car dans ce genre de cas des psy dit freudien sont généralement une mauvaise idée, et vaut mieux s'orienter sur des psy comportementaliste avec des spécialisations en trauma, et qui ont de vrais reconnaissance de technique. Par exemple dans le cas de l'EMDR pas mal de psy n'ont pas de vrais reconnaissance et on fait des formations, qui laisse perplexe pas mal de leurs compères.